Algérie jeudi, août 11, 2022 Se connecter. Bienvenue ! Connectez-vous à votre compte : votre nom d'utilisateur. votre mot de passe. Forgot your password? Get help. Récupération de mot de passe . Récupérer votre mot de passe. votre email. Un mot de passe vous sera envoyé par email. L'express DZ. National; Politique; Economie; Monde; Région;

On incrimine les dĂ©gĂąts causĂ©s par les rĂ©centes intempĂ©ries, on dĂ©nonce le dĂ©rĂšglement du marchĂ© de gros ; il y a toujours un prĂ©texte pour justifier le prix Ă©levĂ© des fruits et lĂ©gumes. Toujours est-il que ce prix est anormalement Ă©levĂ© malgrĂ© une saison clĂ©mente et une surabondance en qualitĂ© et en quantitĂ© de nos produits agricoles. Cette surabondance se remarque par les grandes quantitĂ©s des fruits et lĂ©gumes sur les Ă©tals des marchands. Ces produits agricoles sont prĂ©sentĂ©s en quantitĂ©s si Ă©normes que l’on doute des chances d’écouler la marchandise dans la mĂȘme journĂ©e. C’est le cas des pommes de terre, des oignons, des mandarines, des oranges, des grenades, des dattes, des navets, des carottes, des aubergines, des courgettes, du chou-fleur, de la laitue et aussi des pommes, tous de production locale. Les prix de ces fruits et lĂ©gumes oscillent dans une fourchette situĂ©e entre 100 et 600 dinars. Pour l’ail, le kilo franchit allĂ©grement la barre des 1 000 dinars C’est trop pour le panier de la mĂ©nagĂšre, qui se rĂ©sout bien souvent Ă  n’acheter ces fruits et lĂ©gumes que par unitĂ©. Pourtant la qualitĂ© de ces produits que gĂ©nĂšre le sol algĂ©rien ne peut qu’ĂȘtre admirĂ©e. Ils sont d’abord bio, Ă  l’iverse de ceux que l’on trouve dans les pays industrialisĂ©s et qui regorgent de revitalisants chimiques et de conservateurs nuisibles Ă  l a santĂ©. Nos produits sont aussi attirants par leur fraĂźcheur et leur goĂ»t naturel. Ainsi cette annĂ©e les chou-fleurs sont les rois du marchĂ©. En les voyant si appĂ©tissants, on ne peut s’empĂȘcher de penser Ă  une soupe fumante et vivifiante avec ce lĂ©gume, digne produit de notre terroir. Il en de mĂȘme pour la laitue, superbe cette annĂ©e, donnant une salade savoureuse et bienfaisante. Il faudrait que les prix des lĂ©gumes soient en harmonie avec le pouvoir d’achat du citoyen algĂ©rien moyen. La consommation rĂ©guliĂšre des fruits et des lĂ©gumes constitue le garant d’une bonne santĂ©, et l’AlgĂ©rie gĂ©nĂšre en abondance ces produits agricoles. Nombreux sont les AlgĂ©riens qui connaissent les valeurs nutritives de nos fruits et lĂ©gumes. Soit ils les achĂštent par unitĂ© dans les marchĂ©s, soit ils guettent le passage des vendeurs ambulants qui offrent des prix mois Ă©levĂ©s. Certains mĂȘme se dĂ©placent en voiture en fin de semaine pour s’approvisionner dans des marchĂ©s dans les localitĂ©s voisines. Pour ceux qui n’ont pas de vĂ©hicule, le marchĂ© de l’Aquiba, Ă  Belcourt, est le seul espace dans la capitale oĂč les prix des fruits et lĂ©gumes peut ĂȘtre abordable. On trouve, Ă  titre d’exemple, des tomates Ă  50 dinars le kilo, alors qu’ailleurs c’est le double ou le triple.
LemarchĂ© des fruits et lĂ©gumes en AlgĂ©rie peu mĂ»r. lundi 25 aoĂ»t 2008, par RĂ©daction. Les prix des fruits et lĂ©gumes s’annoncent chers pendant le ramadhan en AlgĂ©rie ce qui confirme encore une fois la fragilitĂ© de l’agriculture algĂ©rienne. Les prix des fruits et lĂ©gumes vont connaĂźtre une hausse sensible en AlgĂ©rie au cours
C’est la bonne nouvelle de la pĂ©riode post-Ramadan aprĂšs d'une flambĂ©e insupportable sur les marchĂ©s, les prix sont Ă  la baisse au grand soulagement des mĂ©nages algĂ©riens dont les bourses ont Ă©tĂ© vidĂ©es. La presse locale ne manque pas de commenter cette belle surprise en apportant quelques explications. MĂȘme la star de la table algĂ©rienne, en l'occurrence la pomme de terre, est revenue Ă  des prix abordables. Le kilogramme est cĂ©dĂ© entre 60 et 80 dinars, soit la moitiĂ© de ce qu'elle coĂ»tait durant le mois sacrĂ© du Ramadhan », note le quotidien l’Expression. Selon cette mĂȘme source, le poulet s’écoulerait Ă  prĂ©sent Ă  280 dinars le kg, contre quasiment le double il y a quelques semaines. Tandis que la viande rouge reviendrait Ă  son niveau habituel, Ă  partir de 1100 dinars le kg », prĂ©cise le journal. Le quotidien El Watan, cite pour sa part l’Association algĂ©rienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement Apoce, dont le point de vue est lĂ©gĂšrement nuancĂ©. Nous sommes un peu rassurĂ©s. Les indicateurs sont rĂ©confortants au vu de la baisse quotidienne des prix de certains produits et de leur abondance, mais le marchĂ© national est perturbĂ© et imprĂ©visible, et il peut rĂ©server des surprises Ă  tout moment, c’est ce que nous avons vĂ©cu par expĂ©rience», commente son prĂ©sident Mustapha Zebdi. Autre satisfaction des mĂ©nages, les produits jusque-lĂ  sous tension, tel que l’huile de table, la semoule et le lait en sachet, sont Ă  nouveau largement disponibles. Ils remplissent les Ă©tals, faisant fiĂšrement face aux clients. Ces derniers s'Ă©tonnent de les trouver en abondance alors que les commerçants assurent que ces produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ© ne trouvent presque plus preneur », signale mĂȘme l’Expression. Comment s’explique cette baisse surprise qui apporte une bouffĂ©e d'oxygĂšne ? La chute de la demande post Ramadan est bien entendu le premier facteur. Mais cela n’est probablement pas suffisant pour dissuader les rĂ©seaux de commerçants vĂ©reux rodĂ©s aux pratiques de stockage et de rĂ©gulation » spĂ©culative de la distribution en lien avec les barons de l’économie informelle. La criminalisation des actes de spĂ©culation a sans doute produit son effet, elle est dissuasive. La loi prĂ©voit dĂ©sormais la perpĂ©tuitĂ© pour ces dĂ©lits. L’approvisionnement des mĂ©nages, un dossier tout compte fait trĂšs politique, est pris en charge au sommet de l’Etat. Il fait l’objet de directives du prĂ©sident Tebboune en personne. On parle de sĂ©curitĂ© alimentaire », d’organisation des circuits de distribution et de mesures incitatives sur toute la chaĂźne, seule issue pour briser la spirale spĂ©culative. La nouvelle AlgĂ©rie est-elle en marche? », s’interroge l’Expression, publication trĂšs proche du pouvoir. La question mĂ©rite en effet d’ĂȘtre posĂ©e. Les AlgĂ©riens sont abandonnĂ©s au bon vouloir de la pĂšgre qui accumule des richesses dans le secteur commercial depuis des dĂ©cennies. Reste qu’il n’est sĂ»rement pas d’AlgĂ©rie nouvelle », sans libertĂ© d’opinion, de pensĂ©e et d’expression.
Lesfruits n’ont pas Ă©tĂ© en reste et ont pris plus de dinars qu’il n’en faut. “Je l’ai achetĂ© Ă  130 DA, le voilĂ  aujourd’hui Ă  180 DA”, dĂ©nonce ce citoyen, qui s’élĂšve sur l’augmentation du prix du raisin. La tomate, qui connaĂźt une production abondante Ă  Jijel, est passĂ©e de 25 Ă  60 DA. La spĂ©culation et surtout la cupiditĂ© de certains ont contribuĂ© Ă  cette
Elles sont des dĂ©cisions saugrenues en AlgĂ©rie qui font autant rire que tiquer. Tenez ! au mois de juillet dernier, face Ă  la flambĂ©e des prix des fruits et lĂ©gumes et aux queues interminables pour un sachet de lait, le ministre du Commerce n’avait pas trouvĂ© mieux que
 d’arabiser son dĂ©partement sic !. L’Education, lui emboitant le pas, fit la chasse Ă  la langue française de l’école algĂ©rienne primaire pour la remplacer dĂšs la rentrĂ©e qui pointe dĂ©jĂ  Ă  l’horizon par l’anglaise. RĂ©sultat Comment trouver 20 000 enseignants anglophones en si peu de temps ? Mais lĂ  n’est pas la question. Loin d’ĂȘtre ce pays de cocagne, envers lequel des mĂ©dias algĂ©riens caressant dans le sens du poil s’égarent en rĂȘves, l’AlgĂ©rie rĂ©elle, celle populairement profonde oĂč le citoyen tire le diable par la queue est au bord de l’implosion. Climat social dĂ©gradĂ©, rĂ©pression tous azimuts, impasses politiques, menaces Ă  ses frontiĂšres
 il est comme qui dirait, que la glorieuse fameuse tirade de la vox populi Ă  l’encontre de l’un de ses prĂ©sidents Ă  l’Est de l’Eden tient toujours la route, hier, nous Ă©tions Ă  deux pas du gouffre aujourd’hui nous avons fait un grand pas en avant ». Mais lĂ  n’est pas la question une fois de plus. Et nous y voilĂ , la flambĂ©e des prix des produits alimentaires, surtout les fruits et lĂ©gumes qui mettent l’eau Ă  la bouche en ces temps de canicule, rĂ©unit quelques ingrĂ©dients prĂ©liminaires Ă  des Ă©meutes de la faim » voire pire, des prĂ©ludes Ă  une dĂ©flagration fatale. Si l’on y ajoute le manque de visibilitĂ© que les deux sĂ©niles du Muppet show made in Algeria alimentent du meilleur de leur grĂ©, l’AlgĂ©rie qui se trouve ĂȘtre entre l’enclume et le marteau fait face dramatiquement Ă  un choix binaire, sauver le pays, ou le rĂ©gime. En suivant le regard comme si de rien n’était, nous voilĂ  donc, pour ne prendre que le cĂŽtĂ© sucrĂ© de la chose devant une nouvelle flambĂ©e des prix des fruits en AlgĂ©rie. On est loin des prix plus abordables de ces derniĂšres annĂ©es. Ce qui se passe Ă  l’Est d’Eden, c’est une envolĂ©e de prix caractĂ©risĂ©e Ă  l’image de la banane qui n’a plus la banane justement les prix durant l’étĂ© sont pourtant Ă  leurs niveaux les plus bas, de la poire, des fraises, des figues, des pommes inaccessibles pour les moyennes et les petites bourses algĂ©riennes. Voyons voir, la fraise est Ă  400 dinars 2,72 euros la banane se vend entre 700 et 1000 dinars le kilo 4, 76 et 6,80 euros, les raisins Ă  plus de 280 dinars 1,904 euros, les figues Ă  750 dinars 5,1 euros. On n’est plus dans la situation des prix abordables comme ce fut le cas dans les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. AprĂšs les Ă©pisodes de la sardine, du poulet et des Ɠufs, lait, pain
 oĂč tout flambait les courbes des fruits et lĂ©gumes reprennent de plus belle aprĂšs une lĂ©gĂšre accalmie de quelques jours. MĂȘme la pastĂšque qui coĂ»tait naguĂšre 30 dinars le kilo 0,204 euro a pris ses distances avec l’humilitĂ© d’antan. La nectarine coĂ»te de 250 Ă  350 DA/kg. Bref, ce sont des prix trĂšs Ă©levĂ©s pour les bourses lambda, plus et moins. En cause, Ă©videmment comme Ă  l’accoutumĂ©e la spĂ©culation surtout pour les fruits importĂ©s qui n’ont pourtant pas connu de hausse dans les pays de provenance. Le coupable est du coup tout dĂ©signĂ©, c’est l’intermĂ©diaire qui grĂące Ă  une marge de gain acquise grĂące au stockage s’emplit les poches sans peur et sans reproche, sans souci aucun. Le malheureux se sentant le devoir de spĂ©culer, les “protecteurs “sans scrupules en uniforme Ă©tant lĂ©gion. A titre de rappel, la banane en AlgĂ©rie est pour les fruits ce que la pomme de terre est pour les lĂ©gumes. DĂšs lors qu’elle tire vers le haut ou vers le bas, les autres suivent. L’Association de protecteurs des consommateurs Apoce, estime inacceptable » la hausse des prix des denrĂ©es alimentaires en AlgĂ©rie et a fait Ă©tat de pratiques suspectes » dans certains marchĂ©s du pays, notamment celles dites des accords horizontaux » entre grossistes et intermĂ©diaires notamment pour maintenir le niveau de prix le plus Ă©levĂ© de ces produits de large consommation. Aussi, l’Apoce a demandĂ© aux AlgĂ©riens de boycotter toutes les denrĂ©es alimentaires en AlgĂ©rie avec des slogans comme laissez-la pourrir » sardine ou laissez-la Ă©clore » Ɠufs, etc. et ce, jusqu’à ce que leurs prix soient revus Ă  la baisse, ou Ă  dĂ©faut d’en rĂ©duire la consommation.
Ce sont des productions nationales, mais ceux-lĂ  sont des lots congelĂ©s, c’est pour cela qu’elles sont aussi chĂšres », explique-t-il. Les fruits de saison, comme l’orange, coĂ»tent entre 30 DA et 60 DA. Les marchands mettent cela sur le compte de la « qualitĂ© ». Les acheteurs, eux, ne se posent pas trop de questions. « Tout a augmentĂ©.
Les prix des produits alimentaires ne cessent d’augmenter en AlgĂ©rie. A quelques semaines du mois de Ramadan et aprĂšs l’augmentation du prix des fruits et lĂ©gumes et du poulet, c’est au tour des prix de la viande rouge de s’enflammer. En effet, au cours de la semaine Ă©coulĂ©e, le prix du kilogramme de viande bovine a augmentĂ© de 400 DA tandis que celui de l’agneau a gagnĂ© 300 DA, a indiquĂ©, lundi 31 janvier, l’Association de protection du consommateur Apoce. Lire aussi PĂ©nuries et hausse des prix une problĂ©matique complexe Ce mardi 1er fĂ©vrier, le prix affichĂ© du kilogramme de mouton dans une boucherie de ChĂ©raga dans l’ouest d’Alger est de 1600 DA. Pour ce qui est du prix du kilogramme de la viande bovine, il faut compter pas moins de 1900 DA pour la viande hachĂ©e, et 2200 DA pour un kilogramme d’entre-cĂŽtes. Une augmentation jugĂ©e inquiĂ©tante » par Mustapha Zebdi, prĂ©sident de l’association de protection du consommateur. Nous avons constatĂ© une hausse du prix de la viande. C’est un constat qui est inquiĂ©tant », a-t-il dit dans une dĂ©claration Ă  TSA. Lire aussi Inflation, hausse des prix, dinar la Banque d’AlgĂ©rie dĂ©voile des chiffres alarmants Pour M. Zebdi, cette hausse des prix est d’autant plus inquiĂ©tante Ă  l’approche du mois de Ramadan. Nous sommes Ă  quelques semaines du mois de ramadan. La demande sur la viande rouge atteindra son maximum Ă  cette pĂ©riode de l’annĂ©e ». Une fois encore, les petites bourses seront mises Ă  rudes Ă©preuves », prĂ©vient-il. Les raisons d’une flambĂ©e Mohamed Taher Ramram, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration nationale des producteurs de viande rouge, propos repris par la page de l’Apoce, affirme que cette augmentation se poursuivra les deux prochains mois ». Pour lui, elle est liĂ©e Ă  la hausse des prix sur le marchĂ© de gros. Il affirme que le prix de gros du kilogramme de viande de mouton est passĂ© de Da Ă  Da tandis que celui de la viande de veau vendu auparavant Ă  DA est cĂ©dĂ© Ă  DA. M. Ramram justifie cette hausse du prix sur le marchĂ© de gros, entre autres, par le coĂ»t Ă©levĂ© des prix du fourrage. Un aliment utilisĂ© par les Ă©leveurs qui a atteint les 7000 DA et qui n’est pas toujours disponible », selon lui. M. Zebdi estime qu’ »il faut vĂ©rifier si les arguments avancĂ©s sont fiables au bien s’il s’agit d’arguments utilisĂ©s uniquement pour justifier une hausse injustifiable ». Pour le prĂ©sident de l’Apoce, s’il y a des frais supplĂ©mentaires, il faudrait qu’ils soient proportionnels Ă  la hausse des prix pour le consommateur final » Nous observons qu’il y a une disproportionnalitĂ© entre les coĂ»ts supplĂ©mentaires et le prix de vente chez le consommateur », a-t-il dĂ©plorĂ©. Comment freiner cette flambĂ©e? Va-t-elle se poursuivre? Nous avons appris qu’il y avait des autorisations d’importation de veaux pour abattage ou engraissement. Nous souhaitons qu’il y ait une rĂ©gulation du marchĂ© de la viande pour, au moins, stabiliser cette hausse afin qu’elle n’atteigne pas des niveaux supĂ©rieurs. Nous souhaitons que les professionnels de la filiĂšre, les opĂ©rateurs Ă©conomiques ainsi que les ministĂšres de l’Agriculture et du Commerce interviennent et puissent rĂ©pondre Ă  cette dĂ©faillance », a lancĂ© M. Zebdi. Les derniers articles
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leau et les barrages. l'agriculture. la pÚche. aujourd'hui c'est un pays qui nourrit un certain pourcentage de la population du globe par l'exportation de ces agrumes, légumes et dérivées. les prix de quelques articles aujourd'hui: (les prix convertit en Dinar algérien) pomme de terre: Maroc = 35 Da. Algérie = 70 Da.
Hespress Monde Les prix de lĂ©gumes et de fruits comme la banane flambent en AlgĂ©rie mercredi 13 avril 2022 - 0836 Il ne fait aucun doute qu’en AlgĂ©rie et plus particuliĂšrement depuis le dĂ©but de ce mois sacrĂ© de Ramadan, l’inflation galopante qui persĂ©cute le consommateur algĂ©rien met en pĂ©ril le pouvoir d’achat des consommateurs algĂ©riens. Aussi assiste-t-on depuis le dĂ©but de Ramadan Ă  un appel au Boycott de certains produits alimentaires. C’est ainsi que la flambĂ©e des prix de certains lĂ©gumes et fruits comme, par exemple celui de la pomme de terre et la banane, a incité les AlgĂ©riens à lancer une campagne de boycott, Boycottez-la et ne l’achetez pas», laissez-la noircir », ou pour la patate qu’elle reste pourrir »  sont les termes les plus usitĂ©s par les AlgĂ©riens ayant soulevĂ© la campagne nationale. De nombreux internautes en AlgĂ©rie partagent lesdites publications ayant gĂ©nĂ©rĂ© une grande participation, et une large part de commentaires sur les rĂ©seaux sociaux. L’AlgĂ©rien proteste contre l’inflation, sur les fruits et les lĂ©gumes, en appelant sur la toile au boycott en particulier d’un lĂ©gume et d’un fruit entre autres, emblĂ©matiques en AlgĂ©rie. Le prix de la banane, oscille entre les 600 et les 700 DA le kilo 5 Ă  6 euros alors que sur les marchĂ©s mondiaux, le cours de la banane a mĂȘme chutĂ©. En AlgĂ©rie, la banane est plus qu’un simple fruit. Elle est d’abord le symbole d’une Ă©poque, la fin des annĂ©es 80 et le programme anti pĂ©nurie » du prĂ©sident Chadli Bendjedid qui a permis Ă  plusieurs produits d’entrer sur le marchĂ© algĂ©rien jusque-lĂ  fermĂ©. Ce fruit est aussi un produit de base rĂ©gulateur qui grĂące Ă  son prix jusqu’ici modeste – parfois moins cher que la pomme de terre – permettait aux AlgĂ©riens de manger des fruits mĂȘme quand les fruits locaux de saison, comme la cerise qui dĂ©passe les 600 DA le kilo, sont parfois inaccessibles. Pour l’annĂ©e 2020 l’AlgĂ©rie a importĂ© le volume total de 301 000 tonnes de bananes, contre 241 000 tonnes en 2019, c’est un augmentation bon an mal an de 25%. L’objectif de ces manifestations sur la toile selon des associations de la protection des consommateurs en AlgĂ©rie, en plus de faire face Ă  l’envolĂ©e des prix de la plupart des fruits et lĂ©gumes Ă©tant d’implanter une culture de boycott pour tous les biens de consommation dont les prix atteignent un plafond injustifiĂ©. Selon l’indice des prix Ă  la consommation de l’organisme gouvernemental algĂ©rien chargĂ© de la collecte des donnĂ©es socio-Ă©conomiques et dĂ©mographiques, l’Office National des Statistiques algĂ©rien ONS, les prix des biens alimentaires en une annĂ©e ont subi une hausse de prĂšs de 15% tandis que les produits agricoles frais locaux ont pour leur part subi en moyenne une augmentation des prix de 17% avec mention pour la pomme de terre qui caracole Ă  +60,3%. Les produits alimentaires industriels ont marquĂ© aussi un relĂšvement de 15,3% de leurs prix avec, notamment, +34,1% pour les huiles et graisses. Les prix des produits dĂ©rivĂ©es des cĂ©rĂ©ales subventionnĂ©s ont connu une hausse de 12% ceux de la volaille et des Ɠufs ont augmentĂ© de prĂšs de 16,5% et Ă  un point de plus on retrouve les prix des viandes et poissons. Les fruits importĂ©s ou locaux ont augmentĂ© de 10% avec mention pour la banane qui est passĂ© au moins du simple au double. Pour rester dans l’import les prix du cafĂ© et du thĂ© n’ont pas Ă©tĂ© en reste et se sont envolĂ©s du quart de leurs prix en une annĂ©e. Cette hausse gĂ©nĂ©ralisĂ©e qui tĂ©moigne d’une folle inflation fait que le couffin de la mĂ©nagĂšre algĂ©rienne s’en ressent grave. Elle achĂšte moins de biens et services tout en voyant son pouvoir d’achat se dĂ©rober. Ce symbole de chertĂ© de vie en AlgĂ©rie est en train d’appauvrir des pans entiers de la sociĂ©tĂ© algĂ©rienne. Les produits alimentaires toutes catĂ©gories confondues qui se font de plus en plus couteux touche plus de 66 % des consommateurs algĂ©riens, est-il encore dit. AlgĂ©rie Banane Boycott FlambĂ©e des prix Pommes de terre Suivez les derniĂšres actualitĂ©s de Hespress sur Google News Newsletter Abonnez-vous pour recevoir les derniĂšres nouvelles
Depuisquelques annĂ©es, le Ramadan est devenu en AlgĂ©rie synonyme d’accĂ©lĂ©ration de la consommation et de la gĂ©nĂ©ralisation de la spĂ©culation sur toutes les denrĂ©es alimentaires. Les prix des fruits et lĂ©gumes connaissent traditionnellement une hausse vertigineuse Ă  la veille ou aux premiers jours de Ramadan. Une tendance confirmĂ©e cette
A un mois du mois du Ramadhan, les prix volent dĂ©jĂ  trĂšs haut dans les marchĂ©s de GhardaĂŻa. Les viandes rouge et blanche, merguez, fruits et lĂ©gumes; il suffit de faire un tour sur le marchĂ© pour constater que la trĂȘve des prix attendue pour le mois de la Rahma » n’aura sans doute pas lieu cette annĂ©e. MĂȘme si la courbe des prix diffĂšre d’une marchandise Ă  une autre, on souligne Ă  l’unanimitĂ© commerçants et consommateurs que seul le prix de quelques produits locaux sont restĂ©s relativement stables avec une tendance Ă  la baisse du prix et de la qualitĂ© avec, dans une fourchette allant par exemple, de 35 Ă  45 dinars pour les carottes, 50 Ă  60 dinars pour la salade et 25 Ă  30 dinars pour les oignons. Et ce, avec une tendance Ă  la baisse du prix et de la qualitĂ© avec. Une autre lĂ©gĂšre consolation pour les clients, la tomate, qui, trĂšs demandĂ©e en pareille pĂ©riode, est cĂ©dĂ©e entre 50 et 60 dinars. Les autres fruits et lĂ©gumes qui constituent le panier moyen du consommateur ont tous augmentĂ©, mĂȘme ceux dits de saison. Alors que le dĂ©but du mois de Ramadhan est annoncĂ© dans un petit mois juste, en matiĂšre de prix, pour les citoyens, c’est dĂ©jĂ  les jours de prĂ©paration pour ce mois sacrĂ©, qui ne leur laissent aucun rĂ©pit, surtout qu’en plus de l’obligation’ de manger, les habits des enfants, les factures d’eau et d’électricitĂ© laminent leur portefeuille de maniĂšre dĂ©finitive. Il faut dire que de nombreux pĂšres de famille se retrouvent endettĂ©s Ă  la fin de chaque mois pour pouvoir rĂ©pondre Ă  toutes les exigences des leurs. Pour revenir aux viandes, fruits et lĂ©gumes, en ce premier jour de Chaabane », connait depuis une augmentation sensible de leurs prix, tout particuliĂšrement pour la pomme de terre qui voit son prix rebondir passant de 35 Ă  60 dinars le kilo, parfois Ă  65 DA mais sans jamais dĂ©passer ce seuil. La courgette est arrivĂ©e Ă  80 DA, le poivron coĂ»te, quand mĂȘme, prĂšs de 90 DA, les haricots verts dĂ©passent allĂšgrement les 200 DA. Pour les fruits, les prix ont augmentĂ© de maniĂšre plus significative, sauf peut-ĂȘtre pour les oranges. Les pommes elles sont cĂ©dĂ©es entre 220 Ă  280 DA le kilo, les bananes sont Ă  370 DA, les fraises sont livrĂ©es Ă  300 DA. Pour les viandes, le prix du poulet de son cotĂ© et devenu le sujet de discussion le plus passionnĂ© des pĂšres de famille et des mĂ©nagĂšres depuis que son prix est passĂ© ces derniers jours Ă  270 DA le kilo. C’est la mĂȘme tendance pour la dinde dont les prix sont compris entre 270 Ă  280 DA. Les viandes rouges, dĂ©jĂ  trop chĂšres depuis belles lurettes, n’ont pas bougĂ© d’un iota, Ă  DA pour la brebis, 1400 Da pour l’agneau, 900 DA pour le bovin et tenez-vous bien, 980 Da le kilo, pour les Merguez. Cette hausse des prix est semble-t-il, expliquĂ©e tout simplement par certains du fait de l’augmentation de la demande de la part des citoyens Ă  l’approche du ramadhan. Mais beaucoup de clients, rencontrĂ©s au marchĂ©, Rue Cheikh El-Haoues », ne semblent pas trĂšs convaincus» par cette explication. Les prix sont moins Ă©levĂ©s dans d’autres marchĂ©s des wilayas avoisinantes, comme ceux de Laghouat ou de Djelfa, alors, je ne crois pas que c’est une affaire de la demande », a exhibĂ© Si Mohamed, un retraitĂ© pĂšre de Six enfants. Ce Ă  quoi un commerçant curieusement, rĂ©torquait avec ricanement les prix actuels sont liĂ©s Ă  l’approche du ramadhan ». Nous voulons dores et dĂ©jĂ  faire accoutumer nos clients Ă  l’augmentation des prix. Ajouta-t-il, tout distrait. Cependant, lorsque le prĂ©sumĂ© coupable, le spĂ©culateur en l’occurrence, est rarement identifiĂ© ni contrĂŽlĂ© par les services de la direction du commerce, certains commerçants continueront toujours Ă  jouer au chat et Ă  la souris.
ZI7Zp. 431 497 281 297 284 241 133 47 284

prix des fruits et légumes en algérie